L'école, pour nous, est un lieu d’apprentissage de la vie collective. Elle a pour rôle de responsabiliser et guider les élèves dans leur cheminement, dans le but de les orienter vers un métier. Elle est là aussi pour apporter des connaissances, apprendre à se cultiver et à s’intéresser.
Mais aujourd’hui, cette école n’existe pas…
Marre d'un système éducatif cloisonné où l'on oublie de communiquer, où l'on ne pense qu'aux résultats !
Pourquoi n'existe-t-il pas une réelle égalité des chances entre chacun ?
L’ORIENTATION
Orientation qui ne foire plus :
Nous remettons en cause l’orientation telle qu’elle est mise en place aujourd’hui à l’école. Nous trouvons que beaucoup trop de gens arrêtent leurs études suite à une mauvaise orientation.
Nous proposons donc qu’il y ait plus de temps individuels ou collectifs permettant la discussion de l’orientation des projets d’orientation des jeunes.
Une école qui oriente plus qu’elle sélectionne :
Nous critiquons une école trop élitiste, qui sélectionne plus qu’oriente les gens.
Les élèves qui ont le plus de difficultés sont ceux qui doivent choisir leur orientation le plus tôt (BAC Pro, lycée technologique etc.…).
De plus, nous ne voulons pas d’une école qui existe, vit et forme dans le seul but de la formation à un métier.
Nous proposons donc une formation à la vie et un système qui permettrait de donner deux diplômes en fin de formation : un diplôme pour un métier (exemple : BAC) et un diplôme pour la formation citoyenne (qui inclurait un ensemble de connaissances ou de savoir-faire validés au cours de la formation).
Des conseils d’orientation qui fonctionnent efficacement :
Nous félicitons l’existence de COPSYS, mais aimerions qu’ils se développent. Nous critiquons la mauvaise formation des conseillers, leurs non connaissances…
Nous proposons une formation continue des COPSYS (Conseil d’orientation et psychologues) et un développement des différents centres d’orientation dans le système éducatif.
Nous proposons des forums, des débats… qui permettraient d’échanger sur les formations et métiers existants. Ces débats seront effectués entre les jeunes, avec des professionnels, des gens qualifiés.
Nous aimerions développer les stages, qu’il y en ait plus. Mais nous souhaitons que ceux-ci ne soient pas rémunérés, ce qui amènerait les jeunes à aller en stage parce qu’ils en ont envie et non pour gagner d’argent.
Pour une sensibilisation dès le plus jeune âge :
Nous aimerions développer un pôle de découverte des métiers en lien avec les parents ou autres acteurs sociaux dès les classes primaires.
Par exemple, que l’enseignant invite chaque parent à montrer et expliquer en quoi consiste leur métier. Cela permettra dans un premier temps de valoriser les enfants par le « lien parental ». Mais aussi de découvrir les divers métiers existants.
Une meilleure formation des acteurs pédagogiques :
Nous remettons en cause la formation de l’IUFM et le choix des instits : certains ne font ce métier que pour ses avantages et sans aucune conviction profonde.
Nous proposons donc que ces futurs enseignants aillent sur le terrain, qu’ils soient « sélectionnés » par rapport à la réelle motivation du métier.
Pour une orientation qui n’écarte personne
Nous aimerions, pour faciliter l’accès à l’école pour tous une aide scolaire ou un accompagnement des jeunes.
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Comment l’ETALV (Education Tout Au Long de la Vie) favorise-t-elle l’émancipation des personnes, la coopération entre acteurs et contribuer au développement d’un territoire ?
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